Des experts affirment que les votes blancs ou de protestation pourraient être déterminants pour l'issue des élections chiliennes.

Le 14 décembre, le second tour de l'élection présidentielle au Chili mettra une nouvelle fois en lumière deux visions diamétralement opposées du pays. Cette situation semble se confirmer dans la région, reflétant l'érosion du soutien aux gouvernements de gauche comme de droite. Le Chili en est un exemple supplémentaire. Gilberto Aranda, universitaire à l'Université du Chili et analyste international, et Guillermo Holzmann, professeur d'université et analyste politique à l'Université de Valparaíso, se sont entretenus avec Fernando del Rincón, dans l'émission « Conclusions », au sujet de l'impact potentiel des votes de protestation sur le scrutin à venir.

12/1/20251 min temps de lecture

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